2025 est décidément une année historique pour la Confédération paysanne de l’Ardèche puisque, après la victoire historique aux élections agricoles et le gain de la présidence de la Chambre d’agriculture, c’est maintenant Fanny Métrat, une éleveuse ardéchoise, qui est élue PORTE-PAROLE NATIONALE aux côtés de Thomas Gibert et de Stéphane Galais, au sein d’un secrétariat national élu jeudi 15 Mai 2025 pour un mandat de 2 ans et composé de 9 paysannes et paysans (>> télécharger le dossier de presse présentant le nouveau secrétariat national)
Nous sommes fiers de voir une Fanny accéder à ces responsabilités. Son élection en tant que porte-parole nationale est une reconnaissance de son engagement et de ses compétences … que nous connaissons si bien et dont nous avons profité puisqu’elle a été porte-parole de la Confédération paysanne de l’Ardèche de 2012 à 2016 !
Fanny élève des brebis avec Manu à Antraigues. Ils sont également producteurs de châtaignes qu’ils ramassent et transforment comme de nombreux ardéchois-es.
Fanny est une paysanne avant tout mais elle milite depuis plus de 20 ans pour les paysannes et les paysans d’ici et d’ailleurs et pour une société plus juste
Elle est déjà très engagée dans des commissions de travail nationales pour lesquelles elle donne un énergie et un engagement sans faille notamment au sein de la Commission « International », la commission « Pastoralisme » ou encore la commission « Climat »… et tant d’autres sujets
Cette élection est également un honneur et une grande reconnaissance pour l’agriculture ardéchoise qui sera fortement et dignement représentée.
Nous souhaitons à Fanny, ainsi qu’aux deux autres porte-parole et à tout le Secrétariat National, tout le meilleur pour ce mandat de 2 ans.
Nous les assurons du soutien le plus total de la Confédération paysanne de l’Ardèche
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- Continuer à défendre une rémunération juste par des prix, conséquence de rapport de force engagé pour une répartition équitable de la valeur.
- Continuer à défendre : le partage et l’accès à l’eau, au foncier, l’élevage et l’installation de paysan·nes partout sur le territoire.
- Continuer aussi nos luttes contre l’artificialisation des terres, nos luttes contre tout ce qui menace notre environnement, la biodiversité, notre pouvoir agronomique et donc notre subsistance.
- Continuer, enfin, nos luttes solidaires avec tous les paysan·nes du monde qui souffrent des mêmes maux, mais aussi de l’impérialisme, de l’oppression de pouvoirs étatiques et économiques autoritaires.
